La plupart du temps nos visites aux restaurants St-Hubert sont planifiées de façon minimale. Par exemple, on amène au moins l'appareil-photo. Mais ce ne fut pas le cas aujourd'hui. Ce fut totalement improvisé. Pour offrir en cadeau, Mylène voulait acheter un appareil électronique de Best Buy qu'on ne pouvait pas se faire livrer à Drummondville. Cependant, aux Promenades St-Bruno, le Best Buy du coin avait en stock ledit article. Bravant un peu la pluie, la neige et le grésil, nous sommes donc partis pour St-Bruno. Puis une fois aux Promenades nous avions un creux et avons décidé d'aller au "Food Court" du centre commercial. Puis à notre surprise, dans le coin à gauche, nous avons vu le St-Hubert!

En ce qui concerne l'apparence extérieure, bien ça revient à donner une note pour l'édifice des Promenades St-Bruno. Bon. Côté stationnement... Ce n'est pas la place qui manque!!! Je ne sais pas le matin du boxing day, mais pour toutes les fois où je suis allé là, si tu n'es pas trop lâche pour marcher un peu, il n'y a jamais manqué de stationnement! Les poteaux de lampadaire sont clairement identifiés avec un gros numéro visible des quatre côtés: c'est donc facile de retrouver ton stationnement quand tu sors, pour peu que tu aies pris le temps de noter le numéro près de celui où tu t'es garé. Puis aussi pour l'édifice comme tel, chaque entrée est clairement identifiée en gros autant à l'extérieur qu'à l'intérieur où ils t'indiquent de loin où sont les entrées/sorties de tel ou tel numéro. Donc pour ça, j'adore.

Concernant l'apparence intérieure, j'imagine que le St-Hubert ne peut pas décider trop trop de comment ça se passe à l'intérieur. Les cabarets par exemple de même que la vaisselle me semble être les mêmes que ceux des autres enseignes qu'il y a autour. Donc l'apparence intérieure ici revient un peu à évaluer la cafétéria ou le coin "bouffe" des Promenades St-Bruno. Bien alors là, encore une fois, moi j'ai trouvé ça bien correct. Les cabarets ne sont pas trop petit comme à bien des place. Les côtés sont assez élevés et avec en plus comme un trou ovale sur le long comme pour faire une poignée de chaque côté. Cela fait donc en sorte que t'es pas obligé de "pincer" comme un malade ton cabaret quand il rest trop plein ou de le tenir par en-dessous où des fois c'est plate quand le cabaret a glissé sur de quoi de savonneux ou mouillé ou whatever. La vaisselle n'est pas en carton et les ustenciles ne sont pas en plastique. Tu n'as donc pas de misère à défaire ton poulet pour le manger, donc j'aime bien. C'est bien éclairé sans être agressant. Les allés entre les kiosques et les tables sont assez large pour que deux gros carosses d'enfant se rencontrent sans avoir à ce que l'un deux soit collé au bord. L'espace entre les tables me semble bien aussi, mieux qu'à Drummondville par exemple où les tables dos à dos sont tellement proches que si tu t'étires dans le fond de ton banc et que ton voisin arrière fais la même chose il en résulte un échange de poux de tête à tête.

Pour le service c'était bien correct. Il y a avait au minimum quatre personnes pour s'occuper de nous. Un monsieur qui prenait la commande et qui a mis le tout en branle avec le poulet dans une assiette sur un cabaret qu'il a sortie. Puis tout de suite après une autre personne pour y ajouter les frites, puis encore une autre personne pour la salade de choix, la vérification, puis finalement une autre personne pour le brevage et la caisse. Tout ce beau monde qui ne donnait pas l'impression d'être stressé et bien correct. Des fois je déteste ça ce genre d'endroit car tout est long et les gens semble écoeurré de voir du monde, mais là en tous cas ce coup là c'était bien correct.

Mylène était visiblement fascinée par la dame qui récupérait les cabarets des gens qui avaient fini de manger. Elle voulait quasiment aller l'aider tellement elle en avait et qu'elle avait de la misère à prendre le dessus. Toujours comme elle finissait presque ceux qu'elle avait, de nouveaux arrivaient! Ce n'était évidemment pas ceux uniquement du St-Hubert mais les cabarets de tous les gens peu importe de quelles enseignes provenait leur bouffe! Mylène se posait beaucoup de question à savoir s'il y avait de l'eau dans ce comptoir pour laver? Combien de cabarets par jour elle devait laver? Est-ce qu'elle a de l'aide des fois? Comment ils font pour séparer les cabarets et la vaisselle pour les différentes enseignes? Est-ce qu'ils ont le même nombre? Hum... Mylène n'a jamais le cerveau à "OFF" et se pose toujours trop de questions! Si vous pouvez l'aider, laissez-nous savoir vos infos là-dessus! :-)