Dans le cas de ce St-Hubert, c’est très clair qu’il s’agissait d’un St-Hubert Express. Celui-ci était « à-même » un poste à gaz Pétro-Canada, un dépanneur, puis un genre de complexe de bouffe sur le pouce qui regroupait 4 chaînes : Un St-Hubert Express, un Salvatore, un Subway puis une autre que j’oublie le nom. C’était bien la première fois que je rendrais dans un St-Hubert comme on rentre dans un genre de dépanneur. Puis pour ceux qui se sont déjà arrêter à l’Étape sur la route reliant Québec à Chicoutimi, l’allure du complexe en question de même que l’atmosphère du St-Hubert Express du Cap de la Madeleine fait beaucoup penser à cela.

À l’intérieur, c’est drôle à dire mais c’est comme si on était au Centre d’achat dans le coin des restaurants. Il y a des tables style « publiques » au milieu, un genre de place publique puis t’as les concessions de chaque côté et tu vas là où bon te semble puis peu importe où les gens sont allés chercher leur bouffe, tout le monde mange ensemble au milieu, comme au Centre d’achat!

Côté look bien de l’externe, comme le montre la deuxième photo, on ne peut pas dire que nous sommes tombés sur le cul à voir la porte où on entre. Mais bon...

Pour la nourriture et le service bien c’est sûr que ça goûte le St-Hubert : c’est du St-Hubert. La commande a été longue à venir à mon goût bien que Mylène, elle, trouve que c’était correct. C’est juste que pour un St-Hubert Express, je m’attendais à ce que ce soit plus rapide...

Fait cocasse lorsque j’ai ramené les cabarets, sur leur raque où on les ramène, il y a une indication qui dit « les cabarets noirs ici, les cabarets rouge ici ». Je ne sais pas trop ce que ça leur donne de faire ce tri mais bon... C’était drôle un peu. Je crois que dans les noirs ils servent avec de la vaisselle non jetable puis les rouges c’est jetable. Mais je ne suis pas sûr.