En ce samedi pluvieux nous sommes allés à Montréal. Cette fois-ci au lieu d’aller dans le coin de Laval nous sommes demeurés dans l’Est et sommes allés au St-Hubert de la rue Michelet. Ce ne fut pas trop difficile à repérer. On ne le voit pas de loin mais en arrivant de Jean-Talon il est à quelques mètres de cette rue sur Michelet alors c’était facile.

L’apparence extérieure est relativement bien pour un St-Hubert Express. C’était très propre et le stationnement semble suffisant. Le restaurant comme tel ne partage pas le bâtiment avec un autre commerce et l’occupe entièrement. La bâtisse comme tel est comme dans le coin d’un plus vaste stationnement pour une chaîne d’épicerie, IGA je crois. Dans l’autre coin c’est un A&W qui est là.

Pour l’apparence intérieure bien je ne sais pas si c’est parce que ça fait quelques St-Hubert Express que nous faisons en peu de temps mais je commence à les trouver un peu moins joli qu’avant. Même que Mylène songe à réviser ses notes pour les St-Hubert Express et franchement je pense que je ferai de même. Après tout, c’est pour le plaisir alors on va s’en faire du plaisir! Comme les autres Express, on sent cette espèce d’atmosphère de grande salle vide où tout est écho genre. Le plafond est de type « gros garage » et la tôle bleue ondulée est bien visible. De plus le plancher était assez collant dans la section où nous avons mangé. Ce n’était pas juste « local » en-dessous de la table par exemple. Si c’est quelqu’un qui a renversé à terre une liqueur, chapeau car elle s’est répendue à la grandeur de la section!

Pour le service bien notre note parait peut-être sévère mais voici. Dans un St-Hubert Express ce n’est pas comme dans un restaurant où la serveuse vient te voir trois quatre fois durant le service. Au Express la personne n’a qu’à prendre ta commande, te faire payer et te la mettre sur le comptoir. Donc je ne veux pas paraître trop « snob » mais si la personne a un peu l’air bête et n’est pas souriante un peu bien coudonc, elle va perdre tous les points, c’est bien normal. Celle qui nous a accueilli a été un peu bête avec Mylène qui m’attendait en dedans avant de commander. Puis une fois rendu pour commander bien elle nous donnait visiblement l’impression de la déranger. Puis elle ne semblait pas trop trop intéressée à nous demander ce qu’on voulait manger. Elle nous donnait déjà le prix de ce qu’on avait commandé comme plat principal sans même nous avoir laissé penser au dessert. Quand Mylène est parti avec le plateau et les breuvages elle nous a comme dit qu’il fallait qu’on signe la facture vu qu’on payait avec une carte crédit... Carte que j’ai visiblement donnée moi-même et que j’étais encore appuyé sur le comptoir... Coudonc?! Est-ce qu’elle pensait qu’on allait se sauver dans le coin du restaurant sans payer? En tous cas... On n’a pas été choqué du tout mais c’était un peu bizarre.

Le triangle en chocolat du Chocomousse à Mylène était encore cassé mais cette fois-ci le boutte cassé était sur le gâteau. Celle qui se bourre la fraise où ils sont préparés à manger le boutte qu’il casse pour l’entrer dans la boîte n’avait plus faim visiblement! Fait un peu drôle, moi j’ai pris une tarte au sucre et l’emballage était de la même hauteur que le gâteau à Mylène. Mais la tarte prend à peine la moitié de la hauteur du contenant de plastique qu’ils donnent. Ils seraient quasiment mieux de rapetisser de moitié le contenant de la tarte au sucre et prendre le plastique que ça leur donnerait pour faire le contenant du chocomousse un peu plus haut!