Nous sommes en vacances officiellement depuis hier vendredi soir. Nous avons décidé partir explorer les provinces maritimes durant notre semaine de vacance. Alors évidemment, il fallait bien placer sur notre route un St-Hubert... Et c’est ce que nous avons fait en arrêtant à celui de Bathurst, au Nouveau-Brunswick. Ce ne fut pas trop compliqué parce que de toute façon, ça nous tentait de passer par là.

Le St-Hubert de Bathurst n’est certainement pas récent. Ils ne tombent pas en lambeaux, non, mais montre certains petits signes de défraîchissement. Puis pour la cours bien ils ont battu mon record de l’été 2006 chez moi pour le nombre de pissenlits! Et je vous le dis, faut le faire. Il est très facile à trouver et bien situé. Cette bâtisse jaune ne peut passer inaperçue dans le décor.

Pour le look intérieur il est évident que ce St-Hubert n’a pas été rénové hier. Mais il n’est pas à dédaigner non plus. Avoir un restaurant comme ça pas loin du boulot, on irait sûrement y manger parfois c’est sûr. Il y a comme deux sections de salle où on peut manger. Je ne sais pas si ça ne serait pas un vestige de l’époque où il y avait une section fumeur et une section non-fumeur... Quoi qu’il en soit, nous étions définitivement dans une section où l’espace était optimisé au maximum. Les banquettes n’étaient pas très haute et oublier l’intimité. Mais c’était bien quand même. C’était drôle d’entendre tous ces gens parler Français mais avec un accent acadien. J’ai bien aimé.

Pour les serveuses il y avait DEUX portes. On dirait qu’une porte correspondait aux cuisines d’où elles sortaient avec les plats. Puis l’autre porte était celle où elles ramenaient les assiettes vides des clients. C’est bizarre mais à travers la porte qui s’entrouvrait souvent, j’ai vu comme des genres d’immenses tiroirs de lave-vaisselle où elles classaient les verres, les assiettes et les ustensiles. C’était bien organisé en tous cas. Des fois on voit dans les restaurants les serveuses se marcher sur les pieds mais ce n’était définitivement pas le cas à ce restaurant.

Pour le service bien on entendait les autres serveuses parler assez bien le français mais pour la notre nous n’avions visiblement pas la plus bilingue. Mais comme Mylène a dit, elle était très attentionnée et souriante alors on ne peut pas lui reprocher trop le fait qu’elle n’était visiblement pas à l’aise en français. « Mon » soupe et « Mon » salade étaient bien quand même!

Chose un peu curieuse, en nous remettant l’attention, au lieu d’avoir des bonbons comme d’habitude les St-Hubert nous donne, c’était plutôt deux suçons!!! Je ne sais pas si c’est toujours comme ça où si c’était parce qu’aujourd’hui ils manquaient de bonbon mais toujours est-il que c’est ce que nous avons eu!

C’était aussi l’une des premières fois que je prenais un millefeuille comme dessert. Misère... Ce n’est pas coupable cette affaire là? Mon millefeuille est vite devenu un « mille-miettes »!